Pas de souci, il y a aucun doute de mon côtéHellwood a écrit :… Bon, j’ai conscience que ma remarque un peu contradictoire risque de semer le doute chez Nad91… ça ne va pas vraiment faire avancer son problème.
Pas encore eu de gushing pour le moment, mais assez de carbonatation pour détruire les papille et gommer tout le goût de la bière. Donc dégazage de plusieurs brassins, c'est aléatoire pour la carbonatation de la bière et un peu chiant quand mêmeCedric02 a écrit :C'est sur qu'après plusieurs mauvaises expériences de gushing, on peut devenir un peu parano sur le sujet.
C'est exactement ça Cedric02, je l'ai fait avec mon moût encore non fermenté. J'ai dû mal m'expliquer sur le dernier message, désolé.Cedric02 a écrit :Intéressant! Merci pour l'extrait de la Bible des levures.. Donc le test se pratique avant fermentation. Ce que semble avoir fait Nad91. Je ne l'avais pas compris comme ça. Ça explique aussi la DF plus basse du test que celle du fermenteur.
Le valeur de 70 % d'atténuation indiqué par Fermentis reste une valeur théorique de référence. Elle est basée sur un moût réaliser par Fermentis, avec une certaines quantité de sucre fermentescible et non fermentescible. Un moût avec beaucoup de sucre fermentescible pourra dépasser les 70 % d'atténuation et inversement pour un moût avec peu de sucre fermentescible. C'est là qu'intervient le test de fermentation forcée, dont le but est de déterminer par rapport au profil de notre moût, l'atténuation maximum que peuvent atteindre les levures, en les boostant au maximum (sur-ensemencement, oxygénation du moût et haute température de fermentation) .
Maxougoret l'a très bien expliqué dans son message. D'ailleurs merci pour cette traduction et la précision sur la différence de densité entre le fermentation forcée et la fermentation principale. Je n'étais pas au courant.
De mon côté je procède de la manière suivante :
A la fin de ma cession de brassage, je récupère une certaine quantité de moût de mon brassin dans un erlenmeyer. Pour ma part je récupère le moût qui a servi à la mesure de la densité initiale. J'ensemence le moût avec une grande quantité de levure et recouvre le goulot de l'erlenmeyer avec un feuille d'aluminium, en laissant un petit passage pour l'air. J'installe l'erlenmeyer sur un agitateur magnétique pendant 3 jours, puis je laisse la fermentation suivre son cours pendant 4 jours. L'ensemble de la fermentation se déroule à une température de 23 / 25 °C. Au bout d'une semaine je prend la mesure avec un densimètre.