Bravo pour ce 1er brassage formateur
Les (petites) galères font parties de l'apprentissage, au final, tu as qque chose dans ton fermenteur, il n'y a plus qu'à attendre patiemment 3 semaines mini.
Le plus dur est de lutter contre le besoin incompressible d'ouvrir le couvercle mais ça sert à rien et c'est potentiellement "risqué".
Alors, ce n'est certainement pas un thermomètre à mercure mais à alcool. mais ce qu'il faut retenir c'est qu'il y a toujours des bons et des mauvais côtés sur tous ces matériels. Pour faire basique, les avantages de l'un sont les inconvénients de l'autre :TheGabs a écrit :Outre la filtration, ma principale difficulté a été de lire le thermomètre à mercure fourni pour stabiliser ma température d’empâtage. C'est surement parce que je débute mais j'ai eu du mal à prendre les mesures. Les mesures indiquées variaient selon l'immersion du thermomètre ce que j'ai eu du mal à saisir.
un thermomètre à alcool est "fragile" (verre) mais "fiable" (à condition qu'il soit bien étalonné), alors qu'un thermomètre électronique sera plus "robuste" (mais sensible à l'humidité) et a besoin de piles. A toi de peser les pour et contre.
L"essentiel lors d'une prise de température est de bien homogénéiser le moût avant en donnant quelques coups de fourquet pendant l'empâtage. C'est plus compliqué lors du refroidissement si on ne veut pas remuer tout le dépôt. En plus avec un refroidissement naturel, il est probable que le "centre" de la gamelle soit plus chaud (avec des volumes comme les nôtres, les courants de convection ne doivent pas être très importants). Mais je ne veux pas trop m'avancer sur ce sujet, d'autres sont bien plus calés